Mais bordel vous avez quoi devant les yeux? Comment vous pouvez être aussi fermés, aussi aveugles, tous? J'arrive pas à comprendre, tous ces gens qui se complaisent dans leur putain d'ignorance, d'egoïsme à la con. Je supporte de moins en moins vos propos simplistes, votre réflexion bornée. Cette niaiserie, cette passivité ambiante, c'est vraiment pas pour moi je crois. Je vous parle pas de génie, je vous parle d'être acteur d'un monde dans lequel on évolue tous. Le problème n'est pas que vous n'ayez pas de réponses mais que vous ne vous posiez aucune question. Y'a que votre petite vie de merde qui compte, vous vous foutez du monde dans lequel vous vivez, vous branlez de ce qui se passe à côté. Du temps que les choses vous touchent pas personnellement et de plein fouet. Vous êtes misérables, affligeants, primitifs, si nombreux. Vos futilités, votre bêtise, partout où je me retourne, vous êtes là, à simuler une pseudo culture pour certains, à exhiber fièrement le vide béant qui vous tient lieu de culture pour d'autres. Et j'ai l'impression que personne autour de moi ne comprend ce que je veux dire, j'en arrive à me demander si je suis le problème, j'dois pas être normal. A mon sens c'est consternant, cette désinformation, cette facilité, ce manque d'implication. J'ai plus envie de m'entourer de gens comme ça, bordel. J'ai pas l'impression que ce soit constructif, et j'aime pas avoir cette impression, surtout par rapport à quelques personnes auxquelles je tiens tout de même. Mais c'est le cas et j'arrive de moins en moins à ignorer tout ça. Vous êtes blasés de choses que vous ne savez pas, vous êtes blasants.
Je déteste les conventions, les gens qui veulent me cerner et me définir, j’éxecre le formatage, la copie, le plagiat, ceux qui aiment ne pas réfléchir, ceux qui se nourrissent des faiblesses et des maux de l'autre. Je te déteste quand tu te prends au sérieux, je vous hais quand vous dégoulinez de niaiseries, pire encore quand c’est sur moi, je ne vous méprise quand vous me testez. Vous ne voyez pas, que je ne veux pas qu’on tente de me plaire, amicalement, amoureusement, encore moins en essayant de me ressembler, vous ne voyez rien.
Vous vous ressemblez tous.
Je déteste les conventions, les gens qui veulent me cerner et me définir, j’éxecre le formatage, la copie, le plagiat, ceux qui aiment ne pas réfléchir, ceux qui se nourrissent des faiblesses et des maux de l'autre. Je te déteste quand tu te prends au sérieux, je vous hais quand vous dégoulinez de niaiseries, pire encore quand c’est sur moi, je ne vous méprise quand vous me testez. Vous ne voyez pas, que je ne veux pas qu’on tente de me plaire, amicalement, amoureusement, encore moins en essayant de me ressembler, vous ne voyez rien.
Vous vous ressemblez tous.
J'aime te lire parce que je trouve que tu décris avec précision ce que moi même je ressens parfois, cette impression de passer à côté de sa vie mais de rester dans une putain de passivité, parce qu'au final on a pas le choix, ou peut être que si, on a le choix mais pas les couilles ni les armes pour, juste les larmes et les points d'interrogation dans la caboche...